Nouveau film s’inspirant assez librement de la vie du célèbre Eugène-François Vidocq, L’Empereur de Paris est le type de films que le cinéma français devrait produire plus souvent. Jean-François Richet, son réalisateur, est un fou d'histoire, celle de la Révolution et de l'Empire en particulier. OH MY GOD, j'espère vraiment voir d'autre pépites du genre du côté français. Bien entendu, cela participe fortement à l'atmosphère imprévisible des rues parisiennes du début du XIXème siècle. 79 abonnés Son passé le rattrape pourtant, et, après avoir été accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis, il propose un marché au chef de la sûreté : il rejoint la police pour combattre la pègre, en échange de sa liberté. Parce que le film de Jean-François Richet, certes loin d’être un chef d’œuvre, a de beaux arguments à faire valoir. « L’Empereur de Paris » respire un académisme plutôt sécuritaire, assez sage et convenu, finalement assez loin de l’état d’esprit du fameux François Vidocq, cet ancien bagnard dont ce film de Jean-François Richet veut être la raison d’être et l’enjeu principal ! Faute de parvenir à trouver leurs publics, ces longs-métrages très onéreux sont donc destinés à disparaître, c’est la triste et terrible loi du marché. 83 abonnés Il entame également une troisième collaboration avec son acteur fétiche qui n'est qu'autre que Vincent Cassel (les Mesrine et Un moment d'égarement) ! Enfin un film français qui a de l'ambition! Il s'essaye à comprendre ses motivations, pourquoi l'homme est passé du camp des malfrats à celui de la police. Ce dernier ne manque pas de charisme et de prestance et c'est vrai que ce rôle lui va comme un gant car il remplit physiquement et dans son jeu, tous les critères pour en faire une interprétation crédible. Ce qui donne finalement une ambiance en demi-teinte, d’autant plus dommageable que la vie de Vidocq est finalement bien retranscrite dans ses rebondissements et ses implications... Ruelles sales et dangereuses, marchés bruyants et mouvementés ; c'est avec grand plaisir qu'on circule de décor en décor, au travers des classes sociales et des différents quartiers de Paris. Parce qu'il avait bien aimé, à l'époque, le Vidocq de Pitof, même si celui-ci est sans doute lardé de défauts, dont le premier d'entre eux commence par G... et finit par ...uillaume Canet. Le réalisateur de fou qu'est Jean-François Richet ... Qui sommes-nous | 1891 abonnés Lire l'avis à propos de L'Empereur de Paris, Vendue comme une grosse production française qui allait en mettre plein la vue c'est au final assez décevant sans être non plus catastrophique, bref un entre-deux trop tiède. Ils font germer des sous-intrigues, certes, mais au détriment de notre ennui car on a pas eu le temps de s'attacher à eux. Un rythme soutenu et bien maîtrisé et des acteurs convaincants suffisent donc à faire de l’Empereur de Paris un polar historique de bonne facture. Critique “L'Empereur de Paris”, le Vidocq de Jean-François Richet : spectaculaire mais manque d’âme. Imparfait, L’Empereur de Paris n’est pour autant dénué ni d’intérêt ni d’ambition. Il y a un manque de direction ferme dans l'histoire. La trame est trop lisse et prévisible, trop classique. Et la d'un coup sans que je ne m'attende à quoi que se soit, il y a ce film qui arrive et qui me mets une grosse claque. Vincent Cassel est excellent. Outre le scénario qui favorise l'aventure et l'action plutôt qu'à réellement être un biopic il faut absolument saluer la description du contexte géo-politico-historique, toujours sous-jacent mais bel et bien présent et force effective du destin des protagonistes en premier lieu duquel le personnage de Fouché ; un contexte jamais trop explicatif pour les historiens en herbe, et jamais trop scolaire pour les néophytes. Richard Minier, Edouard Salier, De Recrutement | Une reconstitution consciencieuse et vraiment impressionnante avec son lot de costumes et de décors fidèles rendant hommage au passé (mention spéciale : Avec Un Peuple et son Roi, l’Empereur de Paris s’annonce malheureusement comme un des derniers grands films historiques produits par le cinéma français. en particulier lors de la mort du fils du duc de Neufchâteau. On finit par focaliser notre attention sur les magnifiques décors, sans vraiment se soucier de l'intrigue. Lire ses 5 040 critiques, Suivre son activité Lire ses 24 critiques, Suivre son activité Sans être totalement inintéressant, dans la mesure où cette histoire nous est contée avec précision et moult détails, ni même pénible à regarder, bien au contraire, ce film semble manquer tout de même d’un véritable panache comme on l’espérait ! Une distribution très convaincante, avec une mention toute particulière pour Fabrice Luchini. Un bon film sur une époque assez méconnue avec surtout de beaux décors mais qui manque d'émotion et d'un scénario plus travaillé pour en faire un grand film. Reste un Fabrice Lucchini... Imaginez donc ma joie en découvrant la bande-annonce de L'Empereur de Paris de Jean-François Richet, nouvelle adaptation des aventures du célèbre policier Vidocq, cinquante ans après... : Deux ans après son revenge movie classique mais efficace qu'était Blood Father, Jean-François Richet revient aux sources et se passionne à l'histoire au temps de Napoléon. Seuls quelques effets spéciaux, principalement des plans larges extérieurs, sont plutôt décevants. Laissé pour mort après sa dernière évasion spectaculaire à bord d'un bateau, Vidocq essaye de se faire oublier sous les traits d'un simple commerçant. Enfin un film d'histoire qui parle de la France et des français! Vidéo Vidocq, de criminel à héros pop français. Son passé le... Les dialogues, bien que des fois un peu sommaires et bancals, témoignent aussi de cet autre temps, au vocabulaire singulier. Télérama vous donne les clés pour mieux comprendre et apprécier (ou non) une offre film, série, documentaire inépuisable. Lire ses 1 452 critiques, de D'un point de vue strictement historique, le film se focalise entre 1809 et 1814, et si la véracité des faits reste à prendre avec des pincettes on peut saluer la vraisemblance et la cohérence du récit avec la chronologie ; seuls les anciens bagnards et bandits sont inventés. Ce sera pour la prochaine fois car, à coup sûr, Vidocq ne mourra jamais sur nos écrans... Magnifiquement reconstitué et filmé, Jean-François Richet nous propose une revisite de la légende Vidocq. Tout cela baigne de plus dans un Paris du XIX ème bluffant dans sa reconstitution, de la construction d’un Arc de Triomphe saisissante et inimaginable, jusqu’à à ce dédale de rues sales, véritables coupes-gorges où tout est possible ! Ex. Un film qui redonne du souffle au cinéma français. Il constitue aussi sans doute à ce jour l'évocation la plus réaliste du premier chef de la police. Vidocq, le bagnard devenu chef de la sûreté. Cet "Empereur" est donc plaisant, sans être transcendant. 3 abonnés Jean-François Richet, son réalisateur, est un fou d'histoire, celle de la Révolution et de l'Empire en particulier. Avec "l'Empereur de Paris", le réalisateur Jean François Richet s'est attaché à rappeler les origines de bagnard du premier flic de France. Découvrez toutes les formules d'abonnement à Télérama. Un Vidocq spectaculaire, mais pas très incarné. Et c’est tellement dommage. Avec Avec L'Empereur de Paris, Richet parle d'une figure légendaire dans les bas-fonds d'un Paris napoléonien : il s'agit d'Eugène-François Vidocq, un simple évadé devenu par la suite un policier incontournable de l'époque. Images impressionnantes de moutons rassemblés par centaines pour célébrer la fête de la musique ... Sans leurs masques. Kiki Kirin, Haru Kuroki, Mikako Tabe, Avec Niveau... C'est parfois vraiment pas beau, car dénaturant le coeur de la scène. Mais comme écrasé par ce merveilleux décor, le scénario se fait un peu discret, au rythme de violents combats qui maintiennent l'attention du spectateur. CGU | 428 abonnés Dommage qu'il se contente juste de faire joli, sans éveiller un peu plus notre intérêt. Cette personnalité marquante a déjà suscité de nombreuses adaptations au cinéma dont la dernière date de 2001 avec Gérard Depardieu dans le rôle titre. Et les actrices, Freya Mavor et Olga Kurylenko, ne sont pas en reste. et la réalisation de Jean-François Richet est pleine de dynamisme nous rappelant que nous sommes face au cinéaste du diptyque Mesrine. Tout est là même si on a l'impression qu'il manque l'essentiel. Le récit est prenant (même si il n’est pas tout à fait conforme à la réalité), la reconstitution historique est très convaincante, l’interprétation est très réussie (mais comment pourrait-il en être autrement quand on trouve dans son casting des pointures comme Vincent Cassel, Patrick Chesnay, Fabrice Luchini ou Denis Lavant ?) Lire ses 1 300 critiques, Suivre son activité Les décors et les costumes font de ce polar historique post-révolutionnaire son atout principal. Lire la critique de L'Empereur de Paris, Une fois de plus, le masqué se distinguera par son mauvais goût qui a tout du légendaire. La période trouble après la révolution, vient la république puis la transition impériale propice à ce genre d’énergumène. une magnifique reconstitution avec de beaux costumes Lire ses 466 critiques, Suivre son activité ces exécutions dans les marchés et dans les rues de notre capitale. Un polar/western Napoléonien plutôt réussi et agréable à suivre malgré quelques lenteurs. Une réalisation quelconque malgré l’idée du scénario de base, une intrigue qui aurait pu prendre forme, un ancien truand repenti du bagne, la reconversion échappatoire offerte par la préfecture de police. De galères en évasions, des parquets impériaux aux entrailles de Paris, le Vidocq de Richet manque de charisme. Alors, faute de réussir à nous expliquer ce virage psychologique, le réalisateur nous embarque dans une descente en eaux profondes dans le Paris du 1er Empire. De manière générale, les seconds rôles sont si réalistes, si haut-en-couleur qu'on a l'impression de voir des personnages de Balzac. Une fresque sans éclat. 23 abonnés 2726 abonnés L'émotion est parfois forcée, les scènes de séduction souvent très kitsch. Le bon petit coin des rues commerciales à vendre des draps n’intéresse guère, à noter des errances dans le feu de l’action. D'ailleurs, certaines scènes auraient méritées d'être plus étoffées ou carrément supprimées. Lire ses 471 critiques, Suivre son activité Publicité | Fabrice Luchini, Denis Ménochet et Patrick Chesnais livrent de bonnes prestations en seconds rôles. 236 abonnés Dune, James Bond 25, Cruella, Suivre son activité 20 abonnés Exercice à vrai dire peu concluant, car on n'en sait guère plus sur les ressorts de l'homme après le film. Lucchini parfait en Fouché cynique au phrasé cinglant; James Thierrée convaincant en aristocrate devenu hussard qui cherche à récupérer ses biens confisqués par la République, Denis Menochet très dense en inspecteur sceptique, véritable Javert hugolien avant l'heure. L'ensemble est mal "construit" avec globalement, un scénario peu prenant et n'arrivant jamais a etre véritablement "crédible". C'est finalement une véritable fresque historique (un peu remodelée évidemment, ça reste du cinéma) de la France de l'époque dans laquelle on plonge avec délectation. August Diehl et Denis Lavant font des méchants épatants de perversité et de férocité. Troisième collaboration entre le réalisateur Jean-François Richet et l'acteur Vincent Cassel, après les films sur Mesrine et la comédie "Un moment d'égarement", "L'empereur de Paris" se saisit de la figure historique française d'Eugène-François Vidocq. Sa fait vraiment plaisir ! A côté de cela, les uniformes rutilants des grenadiers évoquent l'épopée napoléonienne, pleine de gloire. Lire ses 726 critiques, Suivre son activité John David Washington, Robert Pattinson, Elizabeth Debicki, Par les membres ayant fait le plus de critiques. Attention ce n'est pas tout public, c'est violent. Lire ses 440 critiques, Suivre son activité Site : Selenie. Ha oui, j'ai failli oublier les drôles mouvements de caméra, parfois expérimentaux et inattendus, que Richet à fait subir presque à chaque séquence. Mention spéciale à l'actrice rousse qui crève l'écran, et qu'on reverra pour sur. Monde de contraste bien rendu dans un film qui brille à restituer son époque. Petites séances avec ma blonde pas vraiment blonde. Son atmosphère, son méchant ultra charismatique aux accents fantastiques, son... Votre abonnement CANAL vous permet de bénéficier des contenus Télérama réservés aux abonnés. Lire ses 300 critiques, Suivre son activité Revue de presse | Lire la critique de L'Empereur de Paris, L'empereur de Paris est un film ambitieux. Là, c'est fun mais on reste en surface la plupart du temps. Le cadre est riche, minutieusement détaillé, joliment éclairé et on y décèle la haute exigence de ce budget XXL en terme de film d'époque. Lire l'avis à propos de L'Empereur de Paris, Loin d’être nul, ce film est totalement dispensable... A visée populaire mais très ambitieux et qui s'est donné de gros moyens (à l'échelle française en tous cas) pour y parvenir. Le nom est connu, et c'est sans doute le premier flic de France à avoir connu la notoriété. 14 abonnés Un film très plaisant comme il devrait en exister plus souvent dans le cinéma français. Claude Brasseur y a bien contribué, en endossant le rôle dans un téléfilm des années 70. Jean-Paul Rouve, Djibril Vancoppenolle, Dayla De Medina, Avec Fier de voir que l'on peut faire de belles choses dans le cinéma français. 22 abonnés Lire la critique de L'Empereur de Paris, Sous le règne de Napoléon Bonaparte, François Vidocq, le seul homme à s'être échappé des plus grands bagnes du pays, est une légende des bas-fonds parisiens. Les décors et les costumes sont superbes (nomination aux prochains Césars ?). Les reconstitutions du paris du début du 19 eme siècle sont très réussies, l'histoire est prenante, et surtout, il y a dans ce film un coté western sauce napoléonienne assez jouissif. Eric Besnard, son scénariste, peaufinait son scénario autour de Vidocq depuis 25 ans. Putain ça fait du bien un bon film d'aventure français ! à la construction de l'Arc de triomphe) ! Pour le projet, il ne... Son passé le rattrape pourtant, et, après avoir été accusé d'un meurtre qu'il... Lire la critique de L'Empereur de Paris, Il y a quelques semaines, à l'occasion de ma critique de Monsieur N., je regrettais la disparition de Napoléon et du Premier Empire dans le paysage cinématographique français du XXIème siècle. Préférences cookies | Vincent Cassel, la french crapule préférée de Hollywood, Les Gilets jaunes s’invitent (malgré eux) chez Vidocq, “L'Empereur de Paris”, le Vidocq de Jean-François Richet : spectaculaire mais manque d’âme, De “La Haine” aux “Promesses de l’ombre”, Vincent Cassel commente six de ses rôles, Les écrits ad hoc de Vidocq, “l’empereur de Paris”. Ce cinéma qui ne possède aucun éclat de génie comme toujours dans un classicisme qui n’ose se risquer à perturber cette image, des voyous policiers corrélés avec résultat et aidés aux petits soins par des hommes d’influence. Jeux concours | Antoine de Maximy, Alice Pol, Max Boublil, De Sous le règne de Napoléon, François Vidocq, le seul homme à s’être échappé des plus grands bagnes du pays, est une légende des bas-fonds parisiens. Des personnages de fausse aristocrate du charme dont on se demande l’utilité et des scènes reprises de série B, le sabre transperce ce film expéditif en carte postale. Lire ses 198 critiques, Suivre son activité J'ai beaucoup aimé ce film. Même si la fin suggère une possible suite que je n'irais pas forcément voir, "L'Empereur de Paris" a le mérite de défendre fièrement une histoire épique et spectaculaire de notre pays. Même si le film souffre de longueurs, la réalisation violente et nerveuse, et les interprétations, Vincent Cassel en tête, suffisent à retenir notre attention pour nous permettre de découvrir un Paris en pleine construction en multipliant les spectaculaires vues aériennes de la capitale. En effet, il correspond à un type de cinéma à grand spectacle qui est assez oublié depuis une trentaine d’années (après avoir connu une certaine heure de gloire avec des acteurs comme Jean Marais, Gérard Philipe, Jean-Paul Belmondo ou Alain Delon).